Trap de Saint-Quentin – Samedi 24 septembre 2005

Premier Trap de la saison, le troisième consécutif pour Saint-Quentin-Fallavier avec un record de participants. Pour la première fois le nombre de joueurs est supérieur à 100 : 106 exactement. Le bouche à oreille a bien fonctionné, l’organisation n’a pas failli et les dirigeants ont prouvé qu’ils pouvaient organiser de grands tournois. Yves Robert, le président, souhaite la bienvenue aux participants et Claudine Marchal tire la première partie, une partie piégeuse avec RIPOU au premier coup qui sera prolongé d’un X par la suite et d’un T devant pour faire TRIPOUX, ce même T étant l’initiale de TEMENOS, un coup très sélectif d’autant plus qu’il y avait ossement qui au singulier vaut 0 point. La moitié des joueurs s’y sont laissé prendre ! Au total 6 scrabbles nous seront proposés : outre le premier précité, nous trouvons ROULIONS, ASSEMBLA, SIZERIN, PUAIENT et CINGLAS. C’est Christian Lavert qui remporte cette manche devant Robert Rosengarten et Didier Gidrol. A noter l’excellente 4ème place de Carmen Lefèvre. La deuxième partie nous est proposée par Martine Trémeau, nouvelle recrue du Club, qui nous offrira une longue partie : 25 coups et deux scrabbles : SIDERENT et ENCOURS. C’est Vincent Fertier qui gagne devant Didier Gidrol et Yves Eprinchard. Au final, Didier Gidrol devance Christian Lavert (1er N3) de deux points seulement, le troisième étant Robert Rosengarten suivi de Sylvie Couturier et Yves Eprinchard. Pierre Tcheng (9ème) remporte la coupe des N4, Agnès Aulagnier (23ème) celle des N5, Jean-Christophe Bayle (36ème) celle des N6 et Geneviève Paton celle des N7 ex aequo avec Nicole Vaucel. Le Challenge par équipe, mis en jeu chaque année, est remporté par l’équipe de Lyon. Pour terminer l’après-midi, en attente des résultats, Yves Robert nous propose un jeu de sa composition basé sur le principe du Jarnac avec élimination directe et une bonne cinquantaine de joueurs y participent pour gagner de magnifiques paniers garnis. Un apéritif sympa clôt ce bel après-midi et nul doute que l’année prochaine nous nous déplacerons encore plus nombreux. Gérard Gouttard